I. La révolution morale au dix-huitième siècle.

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Elle accom-

Les mœurs politiques. Trahisons sous
Vénalité sous Walpole et Bute.
Les viveurs. Les athées.

pagne la révolution politique. .
II. Brutalité du peuple.
tion des grands
Guillaume et Anne.
mœurs privées.
lord Chesterfield.
Gueux, par Gay.

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Sa politesse et sa morale.

Ses élégances et sa satire.

Les

Lettres de

L'Opéra du

19

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III. Principe de la civilisation en France et en Angleterre. — La
conversation en France. Comment elle aboutit à une révolu-
tion. Le sens moral en Angleterre. Comment il aboutit à
une réforme.

IV. La religion. Les apparences visibles. — Le sentiment pro-.

fond.

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- Comment cette religion est populaire. — Comment elle

de lord Wharton.

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- Argument contre l'abolition du christianisme.
L'invective politique. La diffamation personnelle. — Le

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bon sens incisif. - L'ironie grave..

IV. Le poëte..

et dureté de ses badinages.

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195

Comparaison de Swift et de Voltaire. Sérieux
Bickerstaff. Rudesse de sa
galanterie. Cadenus et Vanessa. Sa poésie prosaïque et
réaliste. La grande question débattue. Énergie et tristesse
Vers sur sa propre mort. A quels

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de ses petits poëmes.
excès il aboutit.

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V. Le conteur et le philosophe. Le Conte du Tonneau.
jugement sur la religion, la science, la philosophie
raison. Comment il diffame l'intelligence humaine. Les
Voyages de Gulliver. Son jugement sur la société, le gou-
vernement, les conditions et les professions.
diffame la nature humaine. Derniers pamphlets.
struction de son caractère et de son génie.

Son énergie, son dévouement, son
rôle politique. Son esprit. Différence des réalistes an-

En quoi ce caractère
Sa fougue intérieure. Sa volonté obstinée.

Sa patience au travail.
agitations religieuses.

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Son bon sens méthodique. Ses
Sa piété finale. . . .

. . 277

III. Circonstances qui font naître le roman du dix-huitième siècle.
Tous ces romans sont des fictions morales et des études de
caractères. Liaison du roman et de l'essai. Deux idées
principales en morale.- Comment elles suscitent deux classes
de romans.

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. . 280

IV. Richardson. Sa condition et son caractère. Liaison de
sa perspicacité et de son rigorisme. Son talent, sa minutie,
ses combinaisons. Paméla.
principes.

en Angleterre.

Lovelace.

litant en Angleterre.

Le caractère orgueilleux et mi-
Clarisse. Son énergie, son sang-

froid, sa logique. Sa pédanterie, ses scrupules. - Sir

Charles Grandisson. Inconvénients des héros automates et

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pruderie, son emphase.

V. Fielding.

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Ses longueurs, sa

Son tempérament, son caractère et
Joseph Andrews. Sa conception de la nature. -
Caractère du squire. Les héros de Fielding.

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Peregrine Pickle.

Amélia.

Sa conception de la vie.

Crudité de ses peintures.
Humphrey Clinker. . .

Relief

330

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336

VII. Sterne. Étude excessive des particularités humaines.
Caractère de Sterne. Son excentricité. Sa sensibilité.
Ses gravelures. Pourquoi il peint les maladies et les dégé-
nérescences de la nature humaine. . . .
VIII. Goldsmith. Épuration du roman. Peinture de la
vie bourgeoise, du bonheur honnête et de la vertu protestante.
Le ministre de Wakefield. L'ecclésiastique anglais. Sa-

Ses façons.
Son jugement sur Voltaire et

Ses œuvres.

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Hogarth. Sa pein-

-

Contraste du tempérament anglais
Comment la morale a discipliné le

345

I. Domination et domaine de l'esprit classique. - Ses caractères,
ses œuvres, sa portée et ses limites. Comment il a son cen-

Son genre de vie. Son caractère. Médiocrité de ses pas-
sions et de ses idées. Grandeur de sa vanité et de son ta-
Sa fortune indépendante et son travail assidu.. 366

Ce que deviennent les pas-

III. L'Épître d'Héloïse à Abeilard.
sions dans la poésie artificielle. La Boucle de cheveux enle-
vée. Le monde et le langage du monde en France et en An-
gleterre. En quoi le badinage de Pope est pénible et dé-
plaisant. La Sottisiade. Saletés et banalités. En quoi
l'imagination anglaise et l'esprit de salon sont inconci-

liables.

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IV. Son talent descriptif.

. . 371

Son talent oratoire. Ses poëmes
didactiques. Pourquoi ces poëmes sont l'œuvre finale de l'es-
prit classique.

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L'Essai sur l'homme.

Son déisme et son

optimisme. Valeur de ces conceptions. Comment elles
sont liées au style régnant.

sous les mains de Pope.

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Comment elles se déforment
Procédés et perfection de son style.

Excellence de ses portraits. Pourquoi ils sont supérieurs.

Sa traduction de l'Iliade.

puis un siècle. . .

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En quoi le goût a changé de-

381

395

V. Disproportion de l'esprit anglais et des bienséances classi-
ques. Prior. Gay. La pastorale antique est impossible
dans les climats du Nord. - Le sentiment de la campagne est
naturel en Angleterre. Thompson. . .
VI. Discrédit de la vie de salon. Apparition de l'homme sen-
sible. Pourquoi le retour à la nature est plus précoce en
Angleterre qu'en France. Sterne. Richardson. Mac-
kensie. Macpherson. - Gray, Akenside, Beattie, Collins,
Young, Shenstone. Persistance de la forme classique.
Empire de la période. Johnson. L'école historique.
Robertson, Gibbon, Hume. -Leur talent et leurs limites.
Commencements de l'âge moderne.