Page 386. I have seen her... « Je l'ai vue... » Page 386. Giorno di san Carlo. - Loc. cit., fol. 2 bis. Page 386... passion. Loc. cit., fol. 2 bis vo. Page 387. ... 3 h. moins 5. «Sa fête. Je la vois passer de ma fenêtre à 3 h. moins 5, elle a été très brillante au dîner de lady Agnello, dit la fille de Tonis ». Page 387... Lamermoor l. 8. « Le 30 janvier 1820 attendant sa réponse à la lettre lue par elle vendredi soir, je lis la Fiancée de Lammermoor ». Page 387... supériorité. - Cf. Ci dessus, T. I, p. 137. Page 388.... fell from her eyes. « Les écailles lui tombèrent des yeux. » Page 389. ... trois... Les deux articles que l'on va lire et qui sont conservés à la Bibl. de Grenoble, R. 5896, Vol. IV, - et un article publié en anglais dans la Paris Monthly Review d'octobre 1822. (Cf. Miss D. Gunnell, Stendhal et l'Angleterre. pp. 292-293.) Page 389. ... lettre... Correspondance, II, 425. Page 389. ... piquant. » Ms., loc. cit., fol. 107. Page 389.... le 19 octobre. » Ms., loc. cit., fol. 106. Page 389. 1825. » Ms., loc. cit., fol. 106. Seyssins est son ami Crozet. Page 390. 1822. sqq. Grenoble. R. 5896, vol. IV, fol. 106 Page 390. Very tame. - « Très doux. » Page 394. ... la plus prenante, On peut lire aussi : pressante. Page 395.... chapitres: Stendhal donne seulement les titres qui lui semblent de nature à piquer la curiosité du lecteur, et il les modifie au besoin. Page 395. foudre. Dans la marge, de la main de Stendhal : « Transcrire 4 pages du volume ci-joint. » Page 395. l'amour. Stendhal ne donne ici que l'analyse du premier volume. Voulait-il donc, en cette édition nouvelle, supprimer la seconde moitié de l'ouvrage ? Il parle plus loin cependant des « deux petits volumes >>. Page 396... quelques mois,... Beyle en parle, dans sa lettre à M. Stritch, qui porte la date du 5 août 1822, mais fut écrite au milieu d'octobre. Page 397.... regards : Page 397.... l'âme. » — Chap. XXVII. Chap. XXVIII. Stendhal se fait la même critique à propos de Racine et Shakespeare dans le New Monthly Magasine du 1er avril 1823. (Cf. Doris Gunnell, Stendhal et l'Angleterre, p. 163.) |