LIVRE IV.

L'AGE MODERNE.

CHAPITRE I. LES IDÉES ET LES OEUVRES.

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I. Changements dans la société. Avénement de la démocratie.

La Révolution française. —Le désir de parvenir. Chan-

gements dans l'esprit humain. Nouvelle idée des causes.

La philosophie allemande. Le désir de l'au-delà . . . 427

II. Robert Burns. Son pays.

Sa famille.

Ses misères.

tives contre la société et l'Église.

attaques contre le cant officiel.

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Sa jeunesse.

Ses aspirations et ses efforts. Ses invec-

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The jolly Beggars.

Ses

Son idée de la vie natu-

Son talent. Comment

Comment il est novateur.

Ses lettres étudiées et ses

Son emploi de

vers académiques. Sa vie de fermier.

douanier. Ses dégoûts.

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- Ses excès. Sa mort. . . 458

III. Domination des conservateurs en Angleterre.

tion ne se fait d'abord que dans le style.

délicatesse maladive. Ses désespoirs.

ments. - Les deux idées de la littérature moderne. L'his-
toire entre dans la littérature. — Lamb, Coleridge, Southey,

Moore. - Défauts de ce genre.

Excellence de ses peintures natio-

nales. Ses tableaux d'intérieur. Sa moquerie aimable.

Sa place dans la civilisation
moderne. — Développement du roman en Angleterre. — Réa-

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Sa vie. Peinture de la vie morale dans la vie vulgaire.
Introduction du style terne et des compartiments psychologi-
Défauts du genre.
ques.
Noblesse des sonnets. - L'Ex-
cursion. Beauté austère de cette poésie protestante.
Shelley. Ses imprudences. Ses théories.

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Sa fantaisie.

Son panthéisme. Ses personnages idéaux.— Ses paysages
vivants. Tendance générale de la littérature nouvelle.
Introduction graduelle des idées continentales.

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CHAPITRE II.

LORD BYRON.

I. L'homme.

II.

Sa famille.

Ses

Son caractère passionné.
Son caractère mili-
English Bards and Scot-

amours précoces. Sa vie excessive.

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tant. Sa révolte contre l'opinion.

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1

tish Rewiewers. Ses bravades et ses imprudences.
Déchaînement de l'opinion contre lui.

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Sa vie politique en Italie. Ses tristesses et ses vio-

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- Le poëte.
Ses raisons pour écrire. Sa façon d'écrire.
Comment sa poésie est personnelle. -Son goût classique.

- En quoi ce goût l'a servi. Childe Harold.

mélodramatiques. Vérité des paysages. Sincérité des

Peinture des émotions tristes et extrêmes.

Idée régnante de la mort et du désespoir. Mazeppa, le Pri-
sonnier de Chillon, le Siége de Corinthe, le Corsaire, Lara.
Analogie de cette conception avec celles de l'Edda et de Shak-
speare. Les Ténèbres..
. . 549

Comparaison du Manfred de Byron, et du Faust
Conception de la légende et de la vie dans Goëthe.
Caractère symbolique et philosophique de son épopée.
En quoi Byron lui est inférieur. —- En quoi Byron lui est supé-

rieur.

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Conception du caractère et de l'action dans Byron.

Caractère dramatique de son poëme.

Opposition entre le

poëte de l'univers et le poëte de la personne..

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Beppo.

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· Don

V. Scandale en Angleterre. La contrainte et l'hypocrisie des
mœurs. Comment et selon quelle loi varient les conceptions
morales. - La vie et la morale méridionales.
Juan. Transformation du talent et du style de Byron.
Peinture de la beauté et du bonheur sensible. Haydée.
Comment il combat le cant britannique. - Comment il combat
l'hypocrisie humaine. - Idée de l'homme. - Idée de la femme.
Dona Julia.- Le Naufrage.
La Prise d'Ismail. Naturel

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et variété de son style. - Excès et fatigue de sa verve. Son
théâtre. Son départ pour la Grèce et sa mort. . . . . 584
VI. Position de Byron dans son siècle. La maladie du siècle.
Les diverses conceptions du bonheur et de la vie. La ré-
ponse des lettres. La réponse des sciences. - Equilibre fu-

tur de la raison. - Conception moderne de la nature. . 608

CONCLUSION.

LE PASSÉ ET LE PRÉSENT.

I. Le passé. L'invasion saxonne. Comment elle a établi la
race et fondé le caractère. — La conquête normande.
ment elle a infléchi le caractère et établi la constitution.
Renaissance. Comment elle a manifesté l'esprit national.
La Réforme. Comment elle fixé le modèle idéal. La
Restauration. Comment elle a importé la culture classique
La Révolution. Comment elle

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et dévié l'esprit national.

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a développé la culture classique et redressé l'esprit national.
-L'âge moderne. Comment les idées européennes élargis-
sent le moule national. . . .

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615

II. Le présent. Concordance de l'observation et de l'histoire.

Quelles forces ont produit la civilisation présente, et élaborent

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